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Rétrogradation PIF

 

Le Préfet par arrêté préfectoral préconise des actions correctives pour les tests échoués sur les (P.I.F.).

ICTS France prétend s’y attacher conformément, La problématique est qu’il ne faut confondre pédagogie et répression.

ICTS sanctionne les agents (ART.L 1331-1 du code du travail) qui échouent aux tests en situations opérationnelles, ce qui va à l’encontre de la demande préfectorale. De plus, tout ceci  n’est pas fait selon la législation du travail. (ART.L. 1332-2 du code du travail).                        

Après un échec à un test préfectoral, l’opérateur se voit donc infliger une sanction disciplinaire :

« La rétrogradation ».

Les salariés peuvent et doivent refuser cette rétrogradation car elle n’est pas consécutive d’une faute et est irrégulière.

 

Nous rappelons à l’entreprise que ce procédé est illégale, et nous demandons fermement aux salariés victime de cette pratique déstabilisante, dégradante, humiliante, et vexatoire, de se rapprocher de leurs représentants CFTC afin d’obtenir réparation.

 

Le SNEPS/CFTC va au-delà de la contestation : il propose des solutions concrètes !

- l’employeur dans son obligation d’adaptation au poste et dans le cadre de l’évolution de l’emploi doit mettre tout en œuvre pour que l’on puisse avoir des bons résultats aux tests.            Nous proposons :

-  la mise en place d’un module interne spécifique de « mise en situation » de 4 h. tous les 2 mois incluant l’embauche de formateurs.

 

- Concernant Les actions correctives préfectorales, qu’elles soient procurer aussi par les encadrant instructeurs dont leur mission est de mener des actions correctives.

 

- Ecourter au maximum la période de transition : que les encadrant instructeurs mène cette action corrective avant la fin de la vacation du  salarié dés le test échoué.

A plus forte raison du sous effectif des formateurs, ICTS doit employé les encadrant instructeurs en adéquation avec leur mission.

L’intérêt de ces propositions:                 

 

• cesser de voir des salariés en pleur, traumatisés, et révélant le faite ne plus réussir à dormir, ayant le sentiment d’être considéré comme des incapables.

• Ne pas augmenter le sous-effectif déjà criant des opérateurs pour aller vers une meilleure relation collective de travail.

 

Le maintien du travail, dans la fonction d’opérateur, à la nouvelle ère de ces tests à tout va, est l’objectif essentiel du SNEPS/CFTC !!

Quotas :

 

La réglementation en vigueur de l’aviation civile stipule, que 20 % des passagers doivent être contrôlé dont 10 % aléatoire.

Le gestionnaire (ADP) afin de parvenir à cet objectif, a décidé d’installer des aléatoires techniques (quotas) programmé pour atteindre ces fameux 10%.

Nous soupçonnons ce dispositif d’aller au delà du seuil de 10 %,  chose que nous ne pouvons vérifier.

 

En un mot, les contrôles aléatoires de 10% sont atteints techniquement, il nous manque donc tout simplement les 10 % de contrôles des passagers pour atteindre le seuil réglementaire.

Mais comme vous le savez, les passagers déclenchant le portique étant incommensurables, le seuil de 10 % restant, est largement dépassé.

Au final, mes amis, effectuer des palpations aléatoires en plus des aléatoires techniques (quotas) est infondé.

 

La profession est déjà assez laborieuse comme cela, avec des conditions de travail difficiles, horaires décalés, week-end au compte goutte, ergonomie, environnement, infrastructure, absence de gants, sous-effectif, attente du top départ pour se rendre au toilette, pressions, flicages par notre hiérarchie, pour y rajouter des mesures contraignantes non obligatoires.

 

 

La palpation de sécurité est la première cause d’accident de travail aux PIF passagers dans la sureté aéroportuaire !!!