STRATAGEME PATRONAL

A la réunion du 19 novembre dernier, Les patrons de la sureté on démontrés à quel point leur portefeuille avait plus d’importance que le bien être sociale des salariés de la profession.

Leur discours très bien rodé et parfaitement scénarisé, à croire que chacun d’entre eux à fait le cours Florent, se résume en ces termes :

-        Vu que le président Mr Roger DUTOIT, du (SESA) syndicat des entreprises de sureté aéroportuaire allait bientôt déposer sa démission et que Mr. Pascal QUERANTON directeur des opérations, Pierre Farouz président de la commission sociale, Marc Antoine BIDON responsable formation ont quand à eux déjà démissionnés, le SESA est en train de vivre une crise...

Leur volonté est de poursuivre les travaux de l’annexe 8, mais du au reprise de marché, ils sont dans une passe ou ils ne peuvent plus négocier.

Nous demandant donc d’attendre l’élection d’un nouveau président.

 
INEPTIES !!!

Le SNEPS/CFTC l’a martelé tout au long des réunions depuis septembre, à savoir, que le SESA n’avait aucune volonté de négocier, preuve à l’appui :

- Aucune convocation formelle,

- L’appellation réunion de travail et non pas « négociation ».

Nous étions intimement convaincu qu’il jouer la montre pour évité la colère sociale jusqu’ a la distribution des marchés en novembre, et qu’ a l’issu, les négociations resteraient en l’état.

Le SNEPS/CFTC aurait-il une boule de cristal ?

Il y aurait-il une gué-guerre interne pour la présidence du SESA ? Qui fera payer un lourd tribu aux salariés de la profession : « leur soif de pouvoir ».

La dernière fois qu’il y a eu une parenthèse avec le SESA et les organisations syndicales cela a duré 3 ans, nous demandons aux patrons de la sureté de mettre fin à leur ruse et de trouver une solution au plus tôt pour revenir à la table des négociations, car pendant que leurs comptes vont d’intérêts en intérêts, nos comptes vont d’agios en agios, les salariés du secteur ne peuvent plus se permettent d’attendre….

Le SNEPS/CFTC pense à ses familles entières qui risque de passer des fêtes noirs, du au grand mercato des marchés, BRINKS et DERICHEBOURG ayant perdu la plupart de leurs marchés parisien, 15 % de salariés de ces sociétés sortantes risque de rester sur le bas coté, dans une détresse monstre.

Voila pourquoi le SNEPS/CFTC revendique entre autre la reprise du personnel à 100 % et dés les reprises de marché actuelles.